Un projet d’échanges entre des élèves de 5ème ULIS et des élèves de TPS/PS de Bourbon-Lancy

Mardi 15 avril, un moment plein de découvertes a réuni 2 classes que tout semble opposer : une classe de toute petite section/petite section de l’école maternelle Centre et une classe de 5ème ULIS du collège de Bourbon-Lancy.

Ce projet d’échanges, engagé depuis plusieurs mois, en était déjà à sa quatrième rencontre. Cette fois-ci, les élèves se sont retrouvés à la médiathèque et à la ludothèque, pour un temps autour d’une histoire et de jeux.

Dans un premier temps, les collégiens, qui avaient soigneusement sélectionné un album sur les animaux, ont lu l’histoire aux plus jeunes. Un vrai moment de partage où les tout-petits, très attentifs et impressionnés, ont écouté avec fascination ces « grands » lecteurs.
Puis, les groupes se sont répartis en deux temps d’activité. D’un côté, des collégiens animaient des jeux collectifs ou de société avec quelques enfants chacun. De l’autre, ils accompagnaient les tout-petits dans les différents espaces de la ludothèque : dînette, jeux symboliques, parcours moteurs… Les plus jeunes, visiblement très à l’aise, n’ont pas hésité à interagir avec les plus grands.

Pour les élèves de 5e, l’expérience demande un véritable changement de posture. Eux qui ont l’habitude d’être accompagnés, ont dû cette fois prendre le rôle d’accompagnants. Sortir de leur zone de confort, faire preuve de patience, d’écoute, s’adapter au rythme et au langage des plus petits : autant de compétences nouvelles à mobiliser. Un exercice exigeant, mais formateur, que les enseignantes souhaitent poursuivre dans la durée.

À la fin de la séance, les enseignantes ont annoncé aux maternelles une prochaine rencontre, cette fois… au collège ! Les collégiens leur prépareront des parcours de motricité qu’ils réaliseront ensemble. Une rencontre attendue avec grande impatience par les petits, qui demandaient déjà si le bus allait les emmener « tout de suite » à la grande école du collège.

Journées de sensibilisation au handicap

Mardi 8 et vendredi 11 avril, les élèves de la petite section au CM2 de l’école Bouzereau Macé de Charolles ont participé à des ateliers de sensibilisation aux différents types de handicap.

Huit ateliers ont pu être mis en place pour découvrir les handicaps visuels, auditifs, moteur, cognitifs. Les enfants ont expérimenté, échangé et appris. Suite à ces observations, des affiches vont être réalisées.

Ces journées ont été très appréciées des élèves et ont pu avoir lieu grâce aux partenaires que l’école remercie :

  • quatre éducatrices et une psychologue du SAAS (Service d’Appui à l’Accompagnement et à la Scolarisation)
  • une psychologue et une éducatrice stagiaire du SESSAD (Service d’Éducation Spéciale et de soins à Domicile)
  • des lycéennes
  • des anciens élèves de l’école : Axel et Alicia Mélard-Copret

 

La cérémonie de clôture de la semaine olympique à l’école Grand Four

Pour la 3ème année consécutive, l’école grand Four de Mâcon a organisé une semaine olympique et paralympique la semaine du 31 mars au 04 avril.

Toute la semaine, plusieurs ateliers ont été proposés aux élèves de l’école répartis en équipes : biathlon, basket, cécifoot, atelier braille, volley assis, atelier sur les sens…

A la fin de la semaine, une cérémonie de clôture s’est déroulée dans la cour de l’école en présence des parents. Les élèves ont reçu une couronne de lauriers fabriqués à l’école puis ont chanté l’hymne olympique. Certains élèves ont été distingués et ont reçu le diplôme de la persévérance et du fair-play !

La cérémonie s’est achevée par la chanson des jeux, accompagnée à la guitare, sans oublier le goûter confectionné par les élèves.

Félicitations aux élèves et à toute l’équipe pédagogique pour son investissement !

 

Cirqu’école à Senozan

Avant les vacances de printemps, la « Compagnie sans nom » a installé, avec l’aide des parents et des enseignants, son chapiteau à Senozan afin que tous les élèves de l’école élémentaire puissent découvrir les arts du cirque.

Pendant deux semaines, les élèves de deux classes sont devenus des artistes circassiens : ils se sont succédés sous le chapiteau pour découvrir et pratiquer plusieurs disciplines du cirque. La finalité étant d’élaborer un spectacle et de proposer une représentation aux familles les vendredis soirs.

Chaque enfant a préparé deux numéros individuels de jonglerie et d’équilibre au choix parmi les assiettes chinoises, les anneaux, les balles, les foulards, les cerceaux, le fil, le trapèze, la boule. La classe entière a également présenté un numéro collectif.
Le spectacle final a émerveillé toutes les personnes venues applaudir les artistes sous le chapiteau.

Les coopératives scolaires

Tirelire, Économiser, Argent, Porcin

 

Contrairement aux collèges et aux lycées, les écoles ne sont pas des établissements publics dotés d’une autonomie financière.

Lorsque certains projets nécessitent une collecte de fonds, l’école ne peut pas le faire en tant que telle mais à travers une structure support.

La FlècheSeule une coopérative scolaire est habilitée à gérer des fonds privés, percevoir des cotisations ou des participations, recevoir des dons ou des subventions, acquérir et posséder du matériel éducatif, …

La coopérative scolaire est une structure associative dotée d’un budget propre lui permettant de financer des projets éducatifs et des actions de solidarité sans se substituer aux obligations de la commune (entretien et fonctionnement courant).
Cette coopérative doit être légalement constituée et déclarée, tant sur le plan administratif que juridique.

Texte de référence : circulaire du 23 juillet 2008.

2 types d’associations peuvent financer les projets :
  • Les associations affiliées à l’USEP ou l’OCCE .
  • Les associations autonomes, régies par la loi du 1er juillet 1901 et déclarées en Préfecture, dans le cadre d’une convention établie avec l’Inspection académique.
Modèle Convention format Word
Modèle Convention format PDF

Un contrat d’assurance doit obligatoirement être souscrit pour couvrir l’ensemble des activités coopératives (obligatoires et facultatives) et les personnes (enfants et adultes) qui en bénéficient ou les encadrent.

Les mouvements de fonds s’effectuent au moyen d’un compte ouvert au nom de l’association. Un compte au nom d’un enseignant est strictement interdit.

Conformément à la Loi de 1901 sur les associations, les coopératives scolaires autonomes tiennent impérativement une assemblée générale annuelle au cours de laquelle seront présentés le bilan financier et le budget prévisionnel.

Les coopératives scolaires (autonomes ou affiliées) communiquent les comptes-rendus d’activité et les bilans financiers au conseil d’école.

Dans le cadre des programmes et instructions du ministère de l’Éducation nationale, la coopérative scolaire a une mission éducative : apprendre aux élèves à élaborer et à réaliser un projet commun, les éduquer par l’apprentissage de la vie associative et la prise de responsabilités réelles à leur futur rôle de citoyens.

A savoir :

Aucune  participation financière à la coopérative ne peut être exigée : les versements à la coopérative doivent toujours rester volontaires et libres.

Aucun élève ne pourra être écarté d’une activité financée par la coopérative sous prétexte que ses parents n’ont pas participé. 

A consulter : 

Note de service du 2 mai 2018 relative à l’argent à l’école primaire

 

 

Faire la classe dehors

Tous les lundis après-midis, la classe de CP-CE1-CE2 de Bergesserin, reste vide. Les élèves sont à l’école, mais le lundi, c’est classe dehors !

Baskets, casquettes sur la tête, les 17 élèves sont partis pour une marche d’environ une demi-heure afin de rejoindre un endroit de la forêt qu’ils ont aménagé avec leur enseignante, Marion Fraize.

Après un moment de regroupement, place aux mathématiques et à une séance sur l’heure ce jour-là. Les élèves doivent fabriquer une horloge avec le matériel de la forêt. Sur chaque petits cailloux, ils écrivent les chiffres de 1 à 12 avec un morceau de fusain et symbolisent les aiguilles avec deux bâtons de taille différente. Puis, par binômes, ils s’entrainent à reproduire l’heure indiquée sur des étiquettes.

Marion Fraize s’est lancée dans l’école dehors il y a 4 ans, après s’être beaucoup documentée et en se faisant accompagner par un animateur nature du CPIE (Centre permanent d’initiatives pour l’environnement).

Et elle ne le regrette pas. Les élèves apprennent autrement, développent leur motricité et prennent le temps d’observer ce qui est autour d’eux.  Les séances conduites dans la forêt complètent ce qui est travaillé en classe. « Je travaille par exemple la phonologie avec les CP en leur faisant chercher un objet de la forêt qui comporte le son étudié », explique l’enseignante. Toutes les matières peuvent être travaillées dehors : mathématiques, grammaire, sciences, géographie, expression orale….

L’enseignante sort toutes les semaines, quelque soit la météo, « sauf s’il y a vraiment beaucoup de vent ou une pluie battante », nuance-t-elle.

D’autres écoles du département se sont lancées dans l’aventure. Cette année, une formation « école dehors  » est prévue au plan de formation de plusieurs circonscriptions du département.

Batucada à l’école Anne Frank de Chalon-sur-Saône

6 classes de l’école Anne Frank de Chalon-sur-Saône ont participé à un projet Batucada, en lien avec le conservatoire de Chalon-sur-Saône.

Durant 10 séances, les élèves de la GS au CM2 se sont plongés dans les percussions et la culture brésilienne. Les séances ont été animées par M. Bonnier, intervenant extérieur du conservatoire de  Chalon sur Saône.

Le 25 mars dernier, les élèves ont eu la joie restituer leur travail devant les parents lors du carnaval de l’école. Une belle expérience et un spectacle réussi !

Nouvelle version du Règlement départemental-type

Par arrêté du 21 février 2025, une nouvelle version du Règlement départemental-type de Saône-et-Loire est à présent en vigueur.

 

Il intègre :
* l’adhésion obligatoire des écoles au programme PHARE en matière de sensibilisation et de prévention pour lutter contre le harcèlement scolaire.
A noter :

Les écoles maternelles ne sont, de fait, pas concernées par cette obligation puisqu’elles ne peuvent pas s’enregistrer sur la plateforme nationale d’adhésion au programme PHARE.

Cela ne les empêche en rien de s’inspirer du protocole dans la prévention et la gestion des situations d’intimidation.

* l’interdiction de l’utilisation par les élèves des téléphones portables et autres équipements de communication électronique.
Voir article sur l’interdiction des téléphones portables à l’école et sur l’obligation d’intégrer cette interdiction aux règlements intérieurs des écoles.
Best Wordpress Popup Plugin